Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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LE COUT DE LA FORMATION EN AFGHANISTAN RESTE FLOU

11/11/2009 13:14

LE COUT DE LA FORMATION EN AFGHANISTAN RESTE FLOU


Le coût de la formation en Afghanistan reste flou

 

L'Afghanistan absorbe 95 % des sommes engagées par l'OTAN au titre de ses opérations extérieures. Le secrétaire général, Anders Fogh Rasmussen, a indiqué que des moyens supplémentaires sont nécessaires, mais concentrés à l'avenir sur la formation de la police et de l'armée afghanes. Ces moyens n'ont pas été chiffrés à ce jour, les membres de l'Alliance affichant une grande prudence sur un engagement supplémentaire, dans l'attente de la décision américaine sur le sujet.

 

Au 1er octobre, quatre pays membres (Allemagne, Norvège, Espagne et Italie) et l'Australie ont promis de doter de 221 millions d'euros le fonds spécial créé en 2007 (24 millions dépensés à ce jour en plus des engagements opérationnels) pour le soutien aux forces afghanes.

 

Le monde, 5/11/2009






91ème anniversaire de l'Armistice

11/11/2009 13:06

91ème anniversaire de l'Armistice


Nous étions présents au 91ème anniversaire de l’Armistice dont les cérémonies d’hommages se sont déroulées successivement au monument aux morts d’Hénin puis à celui de Beaumont. Tous les partis politiques locaux étaient représentés, même celui des patriotes dévoyés, les adeptes de la méthode de Montoire jadis initiée par le Maréchal Pétain. Pas la peine de les nommer car ces faux républicains se reconnaîtront. Leur présence reste toutefois une insulte faite à tous les vaillants fils de la France qui combattirent pour la liberté et contre la barbarie. Malgré cela, la cérémonie se déroula toutefois dans la dignité. L’appel aux morts, la Marseillaise et la lecture d’un texte d’Hubert Falco s’égrenèrent, puis après un dernier hommage, nous partîmes pour la salle Debeyre afin d’assister à la remise de médailles du souvenir français. La remise de décoration finie, et après les allocutions d’usage dites par Mr Binaisse, qui nous lut un texte du Maire, et par le Président du Souvenir français, nous fûmes conviés au traditionnel pot de l’amitié, clôturant ainsi une matinée mémorable.

 

 

Le comité DLR

 






La chute du Mur : 20 ans après

11/11/2009 12:32

La chute du Mur : 20 ans après


1989-2009 : L’EUROPE DU CONTRE-SENS
L’effondrement du système soviétique et la chute du mur de Berlin fondèrent t-ils l’Union Européenne, quatre ans avant le traité de Maastricht ? On ne cesse et on ne cessera de nous le répéter à l’occasion du vingtième anniversaire.
A coup sûr, l’écroulement à l’Est démontra la puissance de l’économie de marché et de la liberté comme principe social face au totalitarisme, qui n’eut plus comme ressource qu’un véritable sabordage. Voulant lâcher du lest pour sauver l’essentiel au cœur de l’empire russe, Michaïl Gorbatchov fit de l’Europe une monnaie d’échange avec l’Ouest. Mais l’ouverture progressive projetée par ses alliés réformateurs se transforma instantanément en débâcle, qui devait tout emporter.
On a pu dire que sans l’initiative gorbatchévienne, rien n’eut été possible, que le changement au sommet fut la clef de la formidable révolution pacifique qui mit fin à la guerre froide. Et sans doute, sans la levée de l’hypothèque militaire et nucléaire, les rythmes et les modalités du bouleversement en eurent été très différents et retardés. Mais la fin du système soviétique en Europe de l’Est n’en était pas moins inéluctable. Son échec était programmé dès les années cinquante avec les soulèvements de Berlin et de Budapest, puis avec la tragédie de Prague en 1968, et avant que le double pouvoir en Pologne en annonce les ultimes craquements.
On nous dira aujourd’hui que les mérites et l’attrait intrinsèques du capitalisme triomphant ont permis ce changement d’époque, et c’est naturellement une part importante de la vérité. Mais l’Union Européenne, championne tout azimut de l’économie mondialisée et de la techno-gouvernance bureaucratique sera évidemment bien en peine de se souvenir qu’il y eut d’autres moteurs tout aussi puissants à cette clôture finalement heureuse de la guerre froide. En 1953 et en 1989, ce furent les Allemands de l’Est qui furent les éléments moteurs des premières fissures comme du collapsus final. Et dans l’intervalle, plusieurs centaines payèrent de leur vie ce “vote avec les pieds” qui poussa plusieurs millions d’entre eux à fuir en RFA avant que le Mur de Berlin ne soit érigé et ferme définitivement la frontière. Car c’est évidemment en Allemagne que le sentiment d’oppression fut paroxystique, puisque que c’est là que le rideau de fer sépara hommes et femmes d’une même nation, alors qu’il respecta ailleurs, peu ou prou, les frontières antérieures. Véritable verrue au cœur de l’Europe soviétisée, la RDA adopta logiquement un régime encore plus caricatural et désincarné qu’ailleurs pour justifier cette partition. Bâtir une seconde Allemagne, qui eut été l’antithèse de l’Allemagne réelle présentée comme organiquement coupable du nazisme, s’est avéré une utopie et une abstraction sans avenir. Outre que le discours stalinien ne put jamais faire totalement oublier ni la politique de la “troisième période” qui contribua si fortement dans les années vingt à la venue de Hitler au pouvoir, ni le pacte germano-soviétique, elle s’est heurtée à cette réalité profonde, tenace, faite du sentiment d’appartenance à ce mélange complexe d’histoire, de langue, de culture, de souvenirs d’enfance et de rêves d’avenir, de raison et d’émotion. C’est plus qu’ailleurs en Allemagne qu’on eut pu imaginer l’idée nationale éradiquée en raison de la monstruosité nazie. C’est au contraire, en raison même de la puissance du sentiment national que l’Allemagne fut l’épicentre de l’effondrement de l’ancienne Europe de l’Est, et c’est dans les brèches ouvertes à l’Eté 1989 que les Allemands de l’Est décidèrent de fuir en masse, donnant ainsi le coup de grâce au mur de la honte, puis à tout le glacis soviétique. “Wir sind dasVolk” se mua naturellement en quelques semaines en “Wir sind ein Volk” pour précipiter en une fraction d’histoire une réunification encore impensable dix ans auparavant.
L’échec social et économique du monde soviétique s’est alors conjugué avec son incapacité à penser la nation, véritable point aveugle du marxisme, dans sa genèse comme dans sa dégénérescence totalitaire. Au cœur des soulèvements de Budapest et de Prague, il y eut le même refus de l’oppression nationale, le même refus de voir l’histoire de ces peuples, si intimement arrimée avant 1945 à celle de l’Europe de l’Ouest, remplacée par la logomachie d’une lutte des classes censée transcender l’histoire réelle.
L’Union Européenne est aujourd’hui à plus d’un titre aveugle et amnésique sur les circonstances historiques réelles de sa naissance. Sa volonté de passer par dessus les nations, en continuant à agiter le passé nazi comme un spectre toujours souterrainement à l’oeuvre, se heurtera à sa manière aux mêmes impasses qu’hier l’Europe de l’Est.
Cette impasse est d’autant plus inéluctable que sa réduction de l’histoire à une mécanique institutionnelle, à une démocratie habermasienne sans attache nationale, se conjugue avec l’uniformisation marchande de toute la société. Or, si il ya aujourd’hui encore en Allemagne une certaine “Östnostalgie”, dont témoignent en partie les scores de “Die Linke”, c’est parce que l’Europe de l’Est d’avant la chute du Mur avait, en dépit des régimes dictatoriaux, avait gardé ce parfum tout droit sorti des années vingt et trente d’un monde où tout n’était pas encore vendu, où la finance inhumaine n’essayait pas de tout recouvrir, où la vie quotidienne avec ses particularismes et ses traditions, ses villes sans publicité, semblaient en continuité avec un passé vivant. Une “société civile” avait survécu au fascisme, à la guerre et à l’occupation soviétique et elle prit conscience de façon sans cesse croissante du profond fossé d’avec un pouvoir devenu encore plus artificiel et étranger que du temps de Franz Kafka. Véritable paradoxe du monde bureaucratique de l’Est d’autrefois, cette “société civile” aura contribué à stabiliser les régimes avant de basculer dans l’opposition.
Or, la logique oligarchique qui s’est installée dans l’Union Européenne, faite de technocratisme, de mépris des nations et d’intérêts financiers bien compris, génère aujourd’hui le même rejet progressif, ce même sentiment qu’il y a « eux et nous », et dont témoigne l’abstention massive et persistante à tous les scrutins européens.
L’Union Européenne, digne des trois petits singes chinois, ne voit pas, n’entend pas, et n’a rien à dire. Elle est, quoiqu’elle en dise, elle aussi héritière de la deuxième guerre mondiale, où des logiques d’empire tentèrent de faire disparaître les nations d’Europe rendues en elles-mêmes responsables des deux conflits mondiaux.
Sa négation des nations, sa volonté farouche de remplacer l’histoire réelle par une mécanique économique de concurrence sans limite et sans frontières la conduira à sombrer comme le bloc de l’Est autrefois. Il nous reste pour autant à penser une autre histoire européenne, faite de nations libres et solidaires, pour que la page se tourne.
 
François MORVAN - 7 novembre 2009





11 novembre franco-allemand : ne pas confondre réconciliation et oubli

11/11/2009 12:29

11 novembre franco-allemand : ne pas confondre réconciliation et oubli


11 novembre franco-allemand : l’oubli est contraire à la réconciliation !
La décision-éclair d’associer l’Allemagne à la célébration du 11 novembre, afin d’en faire désormais une fête franco-allemande, est critiquable tant sur la forme que sur le fond.
Sur la forme, il n’est pas acceptable que sur un sujet aussi symbolique pour la conscience nationale une décision de cette importance ait été prise en catimini, sans débat au Parlement.
Ensuite, plus grave encore, l’oubli ne servira pas la réconciliation entre les deux pays, qui doivent rester conscients de leur histoire, même dans ses moments douloureux, pour maintenir et enrichir leur étroite relation, dans leur intérêt propre comme dans celui de l’Europe.
La résistance glorieuse du peuple français à l’agression d’août 1914 ne doit pas être oubliée, ni ses conséquences territoriales en Europe, qui déterminent encore largement aujourd’hui la configuration des frontières politiques du continent.
A l’heure où l’on prétend consolider l’identité nationale au travers d’un débat pour le moins suspect dans son calendrier et ses attendus, cette grave décision illustre une fois encore, hélas, le fossé béant entre les discours et les actes au plus haut sommet de l’Etat.
 
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste Debout la République





Livres de Gaullistes

09/11/2009 17:04

Livres de Gaullistes


A l'occasion du 39ème anniversaire de la disparition du Général De Gaulle, nous entamons un cycle de livres à lire commis par des compagnons du Général et des Gaullistes ayant sans cesse partager avec lui une certaine idée de la France" ! L'occasion de vous constituer une bibliothèque parfaite du Gaullisme.
La fête des fous : Qui a tué la Vème République
de Marie France Garaud
Genre : Essais et Documents  
Thèmes :  Politique  
Date de parution : 11 Mai 2006  
Nombre de pages : 288  
ISBN : 2-259-20259-4
 
Note de l’auteur
Don Juan, orgueilleux séducteur, défie dans l'opéra de Mozart le noble Commandeur. Celui-ci triomphe cependant. Don Juan, foudroyé, disparaît aux enfers. Tout peut alors rentrer dans son ordre. « Elle ne dure jamais longtemps, la fête des fous », chante Masetto. La Ve République a porté en elle un semblable défi, celui de Don Juan-Mitterrand face à de Gaulle. Mais dans notre histoire, c'est Don Juan qui l'emporte finalement sur le Commandeur. Celui qui avait osé lancer : « Le gaullisme n'est qu'une aventure personnelle » a laissé derrière lui, soigneusement choisis, des germes de destruction qui continuent à parfaire son oeuvre au-delà de sa vie. Et se plaçant dans la lignée de son prédécesseur, Jacques Chirac est devenu, consciemment ou non, l'exécuteur testamentaire de celui qui se flattait d'être le « dernier vrai président » de la Ve République. Quelle force mystérieuse a donc conduit l'héritier présomptif de la tradition gaulliste à s'inscrire dans la continuité de François Mitterrand, achevant ainsi le démembrement des structures politiques dont le Général avait doté la France ? Car elle est bien morte, la Ve République , après une longue agonie, et le temps est venu de dresser le constat de décès alors que la fête des fous continue de plus belle... C'est une histoire qui aura duré à peine cinquante ans et dont nous avons déjà oublié les racines. Il se trouve qu'elle est celle de ma génération et que, d'un petit coin de la scène, j'en ai vu se dérouler le fil. 





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